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L'oeil du cinéphile 06
L'oeil du cinéphile 06
  • Critiques sur les dernières sorties ciné ou les fictions TV , rappel des incontournables avec un oeil de cinéphile qui "frise" et quelques humeurs sociétales traitées à travers le prisme de la passion, l'humour, l'émotion. et le feeling!
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8 février 2012

Regard porté sur « Trance » de Dany Boyle avec Rosario Dawson, James Mac Avoy, Vincent Cassel…

Regard porté sur « Trance » de Dany Boyle avec Rosario Dawson, James Mac Avoy, Vincent Cassel… Sortie Cinéma le 08 Mai 2013

Un thriller visuel punchy, produit par Pathé, servi par un trio d'acteurs séduisants: James Mac Avoy (Le dernier roi d 'Ecosse/ Xmen le Commencement) confirme son talent, Vincent Cassel sobre et efficace et Rosario Dawson au jeu juste et au corps de Vénus trouve un role à sa mesure! Vision forcément subjective et cinefeel !

 

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Un commissaire-priseur « tout propre sur lui » (James Mac Avoy) gambler-flambeur à ses heures perdues se voit obligé de participer au vol d’un Rembrandt. Se prenant un violent coup à la tête  de la part du chef de gang (Vincent Cassel) il devient amnésique et ne se souvient plus du lieu de dissimulation de la toile volée. Après un passage à tabac en règle, la voie plus douce du recours à l’hypnose s’impose. Une ravissante thérapeute rentre alors dans le jeu (Rosario Dawson).

Qu’on aime ou pas le Cinéma de Dany Boyle on ne peut nier que le bonhomme sait tenir une caméra et a un savoir-faire formel attrayant voir « hypnotique » pour certains. Le réalisateur de « Slumdog Millionnaire », « 127 heures » ou autres « Trainspotting » nous offre un thriller visuel et speed (scène du braquage vraiment réussie) avec la manipulation psychologique en toile de fonds dont la chef d’orchestre serait la voluptueuse Rosario Dawson ! Y a plus « repoussoir » comme intentions !

Car l’aspect « papier glacé » de son image attire inéluctablement la rétine avec son sens du montage chiadé et rapide ! A l’opposé par exemple d’un Tony Scott maniéré, répétitif dans certains films (Domino) Boyle arrive à nous emmener dans ce trip triangulaire où les trois protagonistes attisent notre intérêt et notre curiosité !

Alors à un moment l’intrigue tourne un peu en rond (avec quand même un twist final bien senti) mais la fluidité du récit, la beauté envoutante de la sculpturale Rosario Dawson, le jeu soft, sec et inquiétant de Cassel et l’ambivalence incarnée par Mac Avoy emportent le morceau !

A cela ajoutez une BO moderne aux accents électroniques inspirés et vous obtiendrez un plaisir coupable d’aimer un film imparfait mais séduisant où pour le coup la forme n’est pas un frein à l’adhésion.

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Commentaires
S
Un très bon film mais qui est un peu brouillon dans son montage. Ca reste assez passionnant... 3/4
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